Rencontre du réseau autour de l’Animation Durable de Destination

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En 2019, 80 structures de Nouvelle-Aquitaine se sont réunies pour s’engager pour un tourisme durable lors du NADOT19. En décembre 2023, soit quatre ans plus tard, ce sont 40 structures du réseau qui se sont retrouvées pour une journée bilan autour des actions mises en place sur l’Animation Durable de DEStination (ADDES).

Au programme, une journée rythmée par les 6 étapes définies par le réseau pour s’engager vers davantage de durabilité avec pour chaque étape, un format d’animation différent afin de mixer inspiration de réalisations ayant été effectuées par des pairs, mise en avant de méthodes et d’outils pour s’engager, échange sur vos problématiques et découverte des solutions pour développer ses démarches durables.

Cette rencontre a été organisée par la MONA en collaboration avec son réseau d’expairs sur la thématique : Jérôme Day du Seignanx.com, Béatrice Renaud du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne, Emrick Herbaut de l’office de tourisme Oléron Bassin de Marennes, Julie Benesty-Oviedo de l’office de tourisme et des congrès de Bordeaux Métropole, Amandine Southon du Comité Régional du Tourisme de Nouvelle-Aquitaine, Samuel Gesbert de Brive Tourisme, Claire Rouchaléou du PETR Adour Landes Océanes

 

L’Animation Durable de DEStination depuis 2019

Si on porte notre regard dans le rétro, le sujet de l’Animation Durable de DEStination a été mis en évidence, en avril 2019, lors du séminaire des directeurs de Nouvelle-Aquitaine. L’ordre du jour de cette rencontre concernait l’engagement des offices de tourisme pour le climat, dont vous pouvez retrouver la synthèse en téléchargement en pdf en cliquant ici.

Depuis cet événement le réseau des offices de tourisme de Nouvelle-Aquitaine s’est engagé sur de nombreuses actions, si bien qu’en 2022, ce n’est pas moins de 149 bonnes pratiques qui étaient identifiées dans les ODG de la région. Les premiers axes d’engagement ont été réalisés en interne au sein même des structures autour d’écogestes, de qualité de vie au travail et de communication sur son engagement. Puis des actions de sensibilisation des visiteurs, d’accompagnement des partenaires et de coopération avec la collectivité ont également fait leur apparitions. Un travail de recensement de ces bonnes pratiques est à retrouver à travers un article dédié en cliquant ici.

Un engagement soutenu par la MONA qui a mis en place un programme d’action dédiées avec :

  • Une communauté d’échange dédiée au sujet via un Google Group
  • Une boîte à outils composée de témoignage et de méthodologie
  • Un parcours inspirant expérimental avec l’ADEME sur le sujet de la communication responsable
  • Des conseils et la possibilité de réaliser des accompagnement sur mesure
  • Des actions de formation en inter et en intra entreprise
  • Une sensibilisation en micro-learning
  • Une grille d’autoévaluation pour effectuer vos premiers pas vers la RSE
  • Un réseau d’expair à votre disponibilité
programme actions addes mona

Cette rencontre réseau permet de faire un point d’étape sur les outils déployés depuis trois ans et de se projeter sur la suite à donner pour continuer d’accompagner les structures touristiques de Nouvelle-Aquitaine à s’engager vers davantage de responsabilité.

 

Ce qu’il y avait au programme de cette rencontre réseau

Vous pouvez télécharger la présentation de la journée directement en cliquant ici. Voici ci-dessous la synthése des principaux éléments.

 

1. Intégrer la prospective à sa stratégie d’ODG

La première séquence a pris la forme d’une conférence prospective à partir des travaux de la commission par Jean-Baptiste Soubaigné de la MONA. Vous pouvez retrouver la présentation de ces travaux de la prospective sur le wébinaire dédié ci-dessous ou bien directement sur le site de ADN Tourisme, en cliquant ici. Pour aller plus loin, nous vous invitons à découvrir le travail mené par l’ADEME pour poursuivre l’engagement vers la neutralité carbone à travers 4 scénarios de transition, à découvrir en cliquant ici.

 

2. Ce qu’il faut faire / ou ne pas faire pour sensibiliser ses visiteurs au développement durable 

La seconde séquence c’est déroulé autour d’un atelier avec la méthode des 3C pour déterminer ce qu’il faut Conserver, Cesser ou Créer en lien avec la thématique de la sensibilisation des visiteurs au développement durable. Animé par Sophie Duprat, Loïc Coissin et Jean-Baptiste Soubaigné de la MONA, chacun a ainsi pu partager ses idées à retrouver dans cette checklist :

Ce qu’on conserve : 

  • Des choix stratégiques assumés
  • Le côté humain, le relationnel
  • De l’accueil hors les murs pour sensibiliser au plus près
  • La mise en place de boîtes à brochure pour recycler la documentation
  • Le lien avec les habitants 
  • La proximité des services (lien social)
  • Les conseils sur les mobilités douces
  • La sensibilisation sur la biodiversité, le patrimoine naturel et culturel
  • Le relais des campagnes de communication de la collectivité sur le sujet du développement durable
  • La collecte et valorisation de l’info tri via Open Street Map
  • La mise en valeurs des partenaires engagés et la valorisation des offres engagées
  • Les animations d’été permettant de valoriser les producteurs 
  • Les campagnes de communication sur les bons comportements à adopter en fonction des cibles (habitants / touristes) et des écosystèmes
  • Les sites internet éco-conçus et des éditions optimisées
  • Les guides et affiches des écogestes pour les hébergeurs / locataires
  • L’accompagnement des prestataires vers les éco-labels et certifications

Ce qu’on cesse : 

  • De procrastiner et on passe davantage à l’action avec des démarches RSE
  • L’individualisme et les réflexions par filières qui manquent de transversalité
  • Une approche indicateur tourné vers le quantitatif exclusif
  • Les mots creux type “slow” ou “écotourisme”
  • La mise en avant des sites déjà sur-fréquentés et la promotion en haute saison
  • De requestionner les éditions et les sites en pensant sa communication de façon responsable
  • La distribution systématique du papier ou à l’opposé, l’arrêt total des flyers ou des bornes interactives au profit de l’optimisation des supports à la clientèle
  • L’envoi des documentation papiers et les brochures sur les hébergements que l’on remplace par un discours pédagogique expliquant pourquoi cet envoi est limité
  • L’arrêt des goodies s’ils ne sont pas éco-conçus
  • Les stickers ou flyers de sensibilisation

Ce qu’on crée : 

  • Un partage des bonnes pratiques en interne et un vocabulaire commun avec l’équipe
  • Des modules de formation ou du elearning pour les conseillers en séjour pour sensibiliser les visiteurs
  • Un partage des bonnes pratiques à l’échelle du département
  • Un label Lucie Progress pour continuer à s’engager sur la thématique
  • Le développement de produits touristiques bas carbones ou d’offres de séjours inspirants sur la thématique durable
  • Des chartes pour sensibiliser aussi les socio-professionnels
  • Des réseaux dédiés aux socios pros engagés
  • Une mise en lumière des acteurs engagés du territoire
  • Des tarifs incitatifs pour ceux qui optent pour la labellisation
  • On test l’office de tourisme sans brochure
  • La communication moralisatrice et culpabilisante au profit de nudge pour sensibiliser les professionnels ou d’affichage ludique (gouvernail ET de Pau)
  • Des cartes de mobilités douces avec indication de temps, impact carbone, signalétique, gains effectués…
  • La mise en place d’une signalétique plus poussée (prévention des feux de forêt, protection de la dune…)
  • Des projets pédagogiques pour les enfants
  • Un SADI durable
  • Le sans trace numérique
  • De l’accessibilité sur le web
  • Etre à l’origine de la création d’événements alternatifs
    MONA rencontre réseau ADDES atelier 3C

3. Listing d’idées pour accompagner les prestataires dans des démarches plus responsables 

La troisième séquence a démarré par le témoignage d’Emrick Herbaut de l’office de tourisme Oléron Bassin de Marennes qui est venu nous parler de leurs actions en faveur des prestataires pour les accompagner dans des démarches plus responsables. A ainsi été évoqué le guide responsable dédié aux acteurs du nautisme, l’étiquette environnementale pour les hôteliers ou encore le forum annuel du tourisme durable.

Ce témoignage à été complété par celui de Claire Rouchaléou du PETR Adour Landes Océanes qui est venue nous parler de leur démarche de Tourisme Durable menée conjointement avec les Offices de Tourisme pour accompagner les partenaires du territoire. Elle nous a ainsi partager toute la démarche menée autour de la charte d’engagement Tourisme Durable aujourd’hui charte d’engagement écoresponsable et ce qu’elle suppose pour celui qui y adhère. Ainsi que leur forum autour de ce même sujet qui est organisé tous les deux à trois ans et qui regroupe des acteurs touristiques mais aussi des acteurs similaire comme cela a été le cas en 2023 en devant un forum du tourisme durable et de l’alimentation.

Les participants ont pu à leur tour se prêter au jeu et échanger avec leurs voisins autour des idées déjà mises en place dans leur structure en terme d’accompagnement des pros au tourisme durable et leurs souhaits futurs pour aller plus loin sur le sujet. Voici leurs retours :

Quelles réalisations avez-vous mis en place dans votre structure avec les pros ? 

  • L’acculturation d’un agent impulseur en local
  • Des ateliers ou réunions sur le sujet du développement durable (monnaie locale, produits ménagers bio…)
  • Des éductours chez d’autres partenaires certifiés
  • Un forum dédié au tourisme durable
  • La mise en place d’une charte tourisme durable avec diagnostic + accompagnement + communication
  • L’accompagnement au déploiement du Fond Tourisme Durable
  • L’accompagnement à la commercialisation et à la vente en ligne
  • La labellisation Tourisme & Handicap et Accueil Vélo
  • La participation à des journées comme celle des Parcs Naturels Régionaux
  • De la communication avec un onglet sur le site pro

Comment aller plus loin ? 

  • Qualifier le contact, le projet et cadrer l’accompagnement
  • S’appuyer sur les hébergements déjà marqués/certifiés et les partenaires engagés
  • Former un réseau de socio-pros en faisant davantage d’échanges entre professionnels engagés (ex : petits dej thématiques) 
  • Coopérer et mutualiser avec les voisins

Si ça ne fonctionne pas, pourquoi ? 

  • Améliorer la communication et les objectifs des accompagnements
  • Il y a trop d’éparpillement dans les démarches
  • Un manque d’information partagée au sein des structures
  • Un manque de temps à consacrer à l’accompagnement des pros
  • Des freins idéologiques, économiques ou des outils inadaptés

Pause repas avec un traiteur local engagé, responsable, zéro déchet, végétarien, anti-gasti

 

4. Le rôle de l’office de tourisme de tourisme en matière de mobilité touristique

Le quatrième séquence a permis de poser la question du rôle de l’office de tourisme sur la mobilité touristique et pour débattre autour de ce sujet la technique des îles Samoa aussi appellée Fish Bowl et qui consiste à laisser la liberté d’expression aux participants pour s’exprimer sur le sujet, développer la question, générer des idées…

Parmi les éléments clés qui sont ressortis de cette échange on retrouve :

● L’office de tourisme a un rôle d’information sur les mobilités touristiques mais de toute évidence l’information liée à la mobilité est souvent démultipliée et il est difficile d’avoir une cartographie de l’écosystème de la mobilité de sa destination (en précisant quelles sont les offres, les modalités, les cibles, les usagers…). Il y a donc un vrai travail de fond à faire pour s’acculturer à ce sujet et pour développer ses compétences notamment en terme de valorisation de la mobilité (animation de la mobilité, marketing de l’offre…) pour pouvoir les mettre à disposition des acteurs qui agissent déjà sur ce sujet.

● La problématique la plus importante sur le sujet se situe au niveau de la data. Cela mets aussi en évidence un rôle de recensement de cette offre territoriale en matière de mobilité qui va de pair avec la notion de commun, l’OT doit devenir un contributeur parmi tant d’autres déjà existants. Lorsqu’il se rend compte que les connexions ne sont pas existantes, l’OT peut alors avoir un rôle de lanceur d’alerte.

● Ce rôle ne se réalise donc pas en silo. Le lien avec les différents échelons des collectivités est indispensable, il s’agit de coopérer sur ce sujet (ex : en rencontrant le service mobilité, en assistant aux différentes commissions et groupes de travail…). Quand cela n’est pas une habitude ancrée et pour contrecarrer la non-mobilité sur le sujet, il est possible d’engager des premiers pas comme celui du challenge de la mobilité en inter-structures.

● Ces sujets évoluent très vite, il y a donc un rôle de veille notamment sur la technologie avec le MaaS, qui agrège des données quanti/quali et bouscule les pratiques habituelles. Si le rôle n’est pas forcément de la maîtriser techniquement il est de le comprendre pour pouvoir évoluer sereinement dans cette thématique. 

● Il y a aussi une vraie marge de progression sur le design de l’offre par les OGD, le transport est une composante du produit et l’office de tourisme peut inclure cette réflexion dans le cadre de développement d’offre décarbonées. Cela pose la question par la suite des services associés à la mobilité (conciergerie, transfert bagages, recharges vélos ou téléphones…) 

● Enfin l’office de tourisme de tourisme a aussi un rôle d’exemplarité dans ce domaine, les actions de promotions sont-elles corrélées avec une mobilité touristique plus durable ? Avons-nous évalué l’impact de notre structure ? Autant d’actions permettant d’être plus cohérents sur le sujet.

● Cette exemplarité permet de développer un dernier rôle de sensibilisation des visiteurs à se questionner, à calculer son impact en matière de déplacement et à effectuer ses choix en pleine conscience. Ainsi qu’un rôle d’accompagnement des professionnels du territoire pour leur permettre de répondre aux demandes des clients et de diffuser les composants d’une mobilité touristique plus durable.

 

5. Retravailler ses indicateurs pour mesurer l’éco-responsabilité de sa destination

La séquence 5 consistait en une interview à deux voix autour de Julie Benesty-Oviedo de l’office de tourisme et des congrès de Bordeaux Métropole et Amandine Southon du Comité Régional du Tourisme de Nouvelle-Aquitaine. Engagées et militantes, nos deux témoins sont venues nous témoigner de comment est traitée cette question des indicateurs dans leurs structures respectives et de trois points clés à retenir :

  • l’importance d’allier indicateurs quantitatifs et qualitatifs quand ont traite de développement durable
  • l’importance de se baser sur des références déjà existantes comme celle des Objectifs de Développement Durable
  • l’intérêt des démarches de certifications / labellisation pour structurer cette question en interne puis en externe

A noter que le Comité Régionale du Tourisme de Nouvelle-Aquitaine à lancé au printemps 2023, un calculateur des émissions de gaz à effet de serre du tourisme néo-aquitain. Cet outil permet ainsi d’estimer les émissions d’impact carbone du tourisme et de ses externalités environnementales associées. Il a pour vocation d’être partagé à l’ensemble des territoire et acteurs touristiques infrarégionaux et nationaux et permettra à terme de renforcer l’engagement de la filière dans la lutte contre le changement climatique.

 

6. Communiquer sur ses engagements responsables en évitant le greenwashing ou le greenhushing

Cette dernière séquence a pris la forme d’une table ronde qui a réunie trois des expairs mona : Jérôme Lay du Seignanx.com, Samuel Gesbert de Brive Tourisme et Béatrice Renaud du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne. Ils sont venus nous témoigner des actions menées dans leur structure en terme de communication pour ne pas tomber dans l’écoblanchiment (greenwashing) mais tout en continuant à communiquer pour les valeurs qu’ils souhaitent porter et éviter le chuchotement (greenhushing).

Béatrice est venu nous parler de la palette d’outils imaginé par le PNR des Landes de Gascogne pour accompagner la communication de sa communauté de partenaires, dénommée Imaginaterres. En effet, pour le parc, communiquer ses engagements permet de : cibler des clientèles qui nous ressemblent, de rassurer les clientèles et d’encourager les comportements écoresponsables. Les imaginaterres les rejoingnent mais veulent continuer à accueillir tout type de public, ne pas fliquer, agir par séduction plutôt démonstration et ne pas courir le risque de s’exposer à la critique des clients ultras-militants voire hystériques. Il a donc fallu mettre en place des outils alliant besoins et vigies des professionnels, c’est ainsi que le parcs a une mis en place un accompagnement régulier à travers une palette d’outils dédiés et créé collaborativement (autodiag pour éviter le greenwashing, pondération entre contenus, séductions et rassurance, outdoor j’adore, travail sur les nudges…).

Jérôme est venu nous expliquer le pas de côté réalisé par le Seignanx.com en devant un office de tourisme ET tiers lieu avec des services (billetterie, cartographie, mobilité, espace de travail, exposition…) qui s’adressent à TOUS les habitants car le touriste, n’est qu’un habitant éphémère. Le périmètre d’action de l’office de tourisme a pris un véritable tournant et sa communication passe par ce changement : un projet associatif responsable. Avec d’un côté le Point Com : un bâtiment réhabilité, en Open-space, favorisant l’économie circulaire, le coworking… et de l’autre le seignanx.com : la vitrine web responsable, avec des logiciel libre, favorisant l’open-data…

Enfin avec sa casquette d’expair, Samuel nous a rappelé que tout ceci est une question de paradigmes entre enjeux sociétaux et marketing. Avec d’un côté le sociétal : l’urgence de faire quelque chose, les valeurs contradictoires de notre secteur d’activité, l’impact « ridicule » ou relatif de nos agissements, l’incomplétude de nos dispositifs… Et de l’autre le marketing : le durable est une tendance du moment, un sujet incontournable, subit une méconnaissance du réel par les visiteurs (ou alors cible de niche pour les avertis) et dispose d’une qualité relative de l’offre. L’une des faces nous pousse vers l’invisibilisation, l’autre vers une surenchère survendue ! Et pour s’en sortir un peu face à tout cela un élément reste essentiel : ne pas perdre de vue la cohérence, l’intégrité, l’humilité…

 

Et maintenant qu’est-ce-qu’on fait ? 

Cette rencontre réseau a permis de fédérer et d’échanger autour d’une thématique qui anime au quotidien les référent.es tourisme durable du réseau. La MONA leur adresse un grand merci pour les échanges et pour les partages. Parmi les actions que l’on peut continuer à engager on peut citer :

  • Continuer à s’engager au sein même de sa structure en allant plus loin sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises et la mesure de l’engagement de sa destination avec des indicateurs éco-responsables.
  • Orienter les choix touristique dans le respect des territoires et de ces populations via le développement d’offres touristiques engagées comme les offres slow tourisme
  • Continuer d’accompagner ses partenaires en mettant en commun les ressources déployées par les ODG de NA
  • Travailler sur l’optimisation et le développement des mobilités douces en interne mais aussi sur les territoires
  • Communiquer sur ses engagements de façon responsable en veillant à ses outils et en respectant des principes d’inclusivité, d’accessibilité et de respect de la vie privée

Afin de faire perdurer l’échange entre les référents durables des structures touristiques un groupe d’échange à été créé et vous pouvez faire une demande pour le rejoindre via cette adresse : durable-mona@googlegroups.com. Si vous êtes préssés de vous mettre en action, on se donne rendez-vous dans le catalogue MONA pour retrouver les formations et actions d’animations prévues sur l’année à venir 😉